Eva Joly demandait à la presse après sa mauvaise chute... mais "qu'est ce qu'il a mon pays ?", le Malien peut ou doit se poser la question... pourquoi?
Pour se disculper, se laver les mains comme n'ayant jamais participé de près ou de loin à l’effondrement de son pays -la victimisation à la malienne-; ou pour se "re"-mettre en question, assumer ses responsabilités et dégager le rôle qui doit être le sien demain pour la renaissance de cette nation -la baraka à la malienne-.
« Gardez-vous...de vendre l'héritage
Que nous ont laissé nos parents »
Hélas! Ils -les Maliens- ont failli sinon ce pays n'a jamais été aussi vrai pourquoi son peuple -mis à nu- est pour une fois, n'en déplaise si authentique; d'où cette grave crise identitaire, une crise identitaire par rapport à soi et par rapport à son pays -se définir soi et donner une image à son pays-.
Les vrais Maliens se découvrent dans le vrai Mali, vérité camouflée et le mal légitimé, rares sont ceux qui voulaient admettre le dysfonctionnement de l'appareil étatique de cette nation qu'on surévaluait à tort ou à raison ; ou ceux qui voulaient voir la réalité pourtant patente sur laquelle les Maliens fermaient les yeux volontiers.
Et aujourd'hui comme un miroir, les Maliens se reflètent les uns dans les autres et constatent malheureusement que les images que projettent les uns sont si différentes de celles qui s'affichent chez les autres, et chacun crie à la honte mais personne ne se trouve honteux -grand paradoxe nulle part ailleurs qu'au Mali-, une honte qui est manifestée non pas en soi mais envers ce Mali innocent et victime des Maliens.
Est ce une manière de vouloir fuir la réalité et nier l'évidence -trop tard-, pourquoi "elle n'a rien ma gueule" mais "qu'est ce qu'il a mon cœur?"...
Réponds et ressaisis toi,
Parles plus donc passes à l'acte,
Demandes pas mais agis,
Non pas pour toi mais pour le Mali,
Vas y sinon ils reviennent et plus affamés...
Pour se disculper, se laver les mains comme n'ayant jamais participé de près ou de loin à l’effondrement de son pays -la victimisation à la malienne-; ou pour se "re"-mettre en question, assumer ses responsabilités et dégager le rôle qui doit être le sien demain pour la renaissance de cette nation -la baraka à la malienne-.
« Gardez-vous...de vendre l'héritage
Que nous ont laissé nos parents »
Hélas! Ils -les Maliens- ont failli sinon ce pays n'a jamais été aussi vrai pourquoi son peuple -mis à nu- est pour une fois, n'en déplaise si authentique; d'où cette grave crise identitaire, une crise identitaire par rapport à soi et par rapport à son pays -se définir soi et donner une image à son pays-.
Les vrais Maliens se découvrent dans le vrai Mali, vérité camouflée et le mal légitimé, rares sont ceux qui voulaient admettre le dysfonctionnement de l'appareil étatique de cette nation qu'on surévaluait à tort ou à raison ; ou ceux qui voulaient voir la réalité pourtant patente sur laquelle les Maliens fermaient les yeux volontiers.
Et aujourd'hui comme un miroir, les Maliens se reflètent les uns dans les autres et constatent malheureusement que les images que projettent les uns sont si différentes de celles qui s'affichent chez les autres, et chacun crie à la honte mais personne ne se trouve honteux -grand paradoxe nulle part ailleurs qu'au Mali-, une honte qui est manifestée non pas en soi mais envers ce Mali innocent et victime des Maliens.
Est ce une manière de vouloir fuir la réalité et nier l'évidence -trop tard-, pourquoi "elle n'a rien ma gueule" mais "qu'est ce qu'il a mon cœur?"...
Réponds et ressaisis toi,
Parles plus donc passes à l'acte,
Demandes pas mais agis,
Non pas pour toi mais pour le Mali,
Vas y sinon ils reviennent et plus affamés...
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